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Un temps de printemps et pas de vent.
Objectif Lune et la dernière sortie à cet aven remonte à septembre 2018.
Mais on est pas sûr d'arriver car une fête « Caisse à savon » se déroule à Opoul et toutes les routes sont barrées.
Il risque d'y avoir beaucoup de perturbation. Aucun panneau d'indication de déviation. Après avoir tourné un certain temps et grâce au GPS d'Hicham on trouve enfin un petit sentier pour retrouver la route de Périllos.
Dure impatience et perte de temps !
Hicham équipe l'aven avec les conseils de JP pour les différentes étapes, et, surtout de s'abriter sur les paliers afin d'éviter les chutes de pierres.
Apparemment pas trop de problème à l'équiper puisque les parois permettent d'être ancré, sans être déséquilibré.
La seule difficulté est le passage d'une étroiture (du type lucarne) à la descente et surtout à la sortie. On verra bien le pourcentage de difficulté.
L'ensemble P40 avec 3 puits (P7 et 2 beaux puits P18 et P10).
Pas de concrétions imposantes, le dernier puits s'agrandit avec un diamètre de 5 m dont le fond est bien plat sur de la terre meuble sans éboulis avec aucune suite.
Hicham à la hauteur du 3ème puits, à la recherche d'un spit a dû descendre un peu trop bas et doit faire une conversion pour remonter.
Une difficulté qui n'était pas prévue. Tant bien que mal, il réussi à remonter grâce à l'avancement d'un piton rocheux.
En bas du grand puits, un petit exercice de conversion en remonté / descente pour Hicham. Quelques directives de JP permettent d'exécuter les 2 conversions avec succès.
A la sortie de la lucarne très étroite, JP dit qu'il faut passer la tête la première et de pousser sur les jambe, pousser encore très fort.
D'après Hicham, c'est un accouchement bien douloureux et il faut plutôt appeler l'aven de la
« Maternité » au lieu de la « Lune ». C'est réaliste.
Sortie à 14 h et petite restauration à la vigne et rencontre de la 2ème équipe (Denis, Danielo, Luc et sa fille mélissa) sont à la grotte Perdue. Mais toujours à l'intérieur.
A l'approche d'opoul, c'est la pagaille, des voitures partout et en grand nombre, jamais le village n'a connu autant d’effervescence